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Création Thalasséa (N°1)

Posté : mar. juin 03, 2025 8:35 pm
par delmaths3
Nom de la planète :
Thalasséa

Gentilé :
Aelyans (prononcé Aï-li-annes)
Gentilé : Aelyan / Aelyane

Race(s) :
Race humanoïde aquatique native de Thalasséa. Ayant la peau bleue ou turquoise, corps élancé, branchies et les extrémités des membres sont palmées. Ils sont des capacités amphibies, ils communiquent partiellement par télépathique ou par chants sous-marins en plus de leur langage. Vivant en symbiose avec leur écosystème océanique, ils disposent d’une technologie bio-organique avancée.

Langues parlées (en plus de l'anglais américain)
En plus de cette langue ils communiquent donc par télépathie ainsi que par des chants sous marins (comme ceux des baleines)


Histoire de la planète :
Au tout début, Thalasséa ressemblait à une Terre bleue et verte continents, forêts, plaines, rivières et lacs. Vers –2800 avant notre ère terrestre, un groupe de Goa’uld mené par le seigneur de guerre Nar-Ammon découvrit cette planète grâce à un réseau de sondes Asgards, attirés par un gisement exceptionnel de cristaux d’énergie abyssale. Fascinés par cette source d’énergie, Nar-Ammon décida d’en faire un monde d’expérimentation. Nar-Ammon organisa plusieurs razzias sur des mondes humains de la Voie lactée (notamment des planètes analogues à la Terre comme P3X-774 et Thalos). Des millions d’humains furent embarqués, triés et envoyés sur Thalasséa leur rôle était d'extraire les cristaux, travailler la biomasse océanique et servir de cobayes pour des expériences sur la symbiose organique-cristalline. Les Goa’ulds firent installer des citadelles de pierre noire sur les montagnes entrecoupées de canaux, ainsi que des complexes sous-marins où des laboratoires évaluaient la résistance humaine aux pressions abyssales. Au fil de trois générations, ces humains esclavagisés développèrent lentement des traits de survie : résistance aux maladies aquatiques, capacité partielle à tolérer une pression élevée, peau plus épaisse, etc. Mais ils restaient sous la poigne de Nar-Ammon, qui organisait régulièrement des « sacrifices » pour créer des mutations forcées à l’aide d’un artefact Goa’uld appelé le repartiteur d’ADN.
Pendant environ 400 années terrestres, Nar-Ammon régna sans partage. Ses laboratoires menaient des expériences atroces certains humains étaient fusionnés à des matériaux cristallins pour créer des soldats amphibies, d’autres servaient à tester des drogues Goa’uld visant à contrôler l’esprit. Toute rébellion était écrasée à grands renforts de Ha’tak bia-pattern propulsés par des cristaux locaux. Vers –2400, un phénomène climatique brutal se déclencha une succession de typhons et tsunamis jamais observés se produisit et selon les archives orales retrouvées, ces tempêtes furent d’une telle violence que la plupart des installations Goa’uld furent submergées ou détruites. Craignant de perdre l’accès à d’autres ressources (leurs laboratoires étaient hors service), Nar-Ammon ordonna l’évacuation générale il ferma ses portes des étoiles et repartit en hâte avec ses vaisseaux. Les humains, affaiblis mais encore nombreux, furent abandonnés. Les citadelles Goa’uld s’écroulèrent, laissant apparaître les ruines de complexes en pierre noire et de blocs de métal biomimétique corrodés par l’eau salée. C’est ainsi que commença l’ère d’indépendance forcée.

Après la fuite de Nar-Ammon, la calotte polaire de Thalasséa commença à fondre rapidement (sans explication technologique connue peut-être une conséquence involontaire des forages Goa’uld dans le manteau). En quelques siècles, les océans recouvrirent progressivement les terres basses. Les vestiges de forêts, de plaines et de lacs devinrent des bancs rocheux sous-marins. Privés de technologie et d’aide extérieure, les humains restants durent apprendre à survivre avec le dévellopement de peau plus épaisse et dotée d’un épiderme gras, protégeant du froid et de la salinité. Des yeux adaptés à la faible lumière abyssale, devenus plus grands et dotés d’une membrane translucide.

Entre –2400 et –1000, ces humains se répartirent en deux grands groupes :

- Les Insulaires : tribus qui vivaient dans les îles hautes (aujourd’hui noyées), développant une vie semi-aquatique (peuplement de villages de pilotis).

- Les Abissaux : clans ayant migré vers les profondeurs, construisant les premières cités submergées en corail calcifié (issu d’anciennes expérimentations Goa’uld).

Aux alentours de –1000, un événement géologique majeur (probablement un réveil d’une dorsale océanique partiellement découverte) entraîna un effondrement massif des plaques tectoniques. En quelques décennies, la quasi-totalité des îles et des terres émergées fut engloutie on estime que 98 % de la surface fut sous les eaux. Tous ceux qui n’étaient pas encore complètement adaptés au milieu subaquatique périrent. Les Insulaires incapables de prolonger leur respiration sous l’eau et les tribus des hautes terres qui cultivaient encore le sol ont donc tous était tué. Seuls survécurent les Abissaux (désormais appelés plus tard Aelyans) ils représentaient environ 10 % de la population avant le déluge mais, avec la disparition de la surface, ils devinrent la race principale de Thalasséa.

Pendant la période de la Croisade des Oris (entre –500 et –100 de notre ère), Thalasséa resta invisible à leurs radars. L’absence de porte des étoiles Goa’uld fonctionnelle et l’isolement des cités abissales protégèrent les Aelyans. Les Oris n’envoyèrent jamais de flottes d’invasion car ils ne détectaient aucune planète abritant une technologie Asgard ou Ancient. Les Aelyans ne subirent aucune conversion forcée ni n’eurent à choisir entre l’Origin et leur spiritualité océanique. Ils conservèrent intacte leur culture chamanique liée à « Nahel’ra, l’Âme des Marées ». Vers –1500, un petit avant-poste asgardien avait envoyé une sonde de reconnaissance sur Thalasséa, sensible aux variations d’énergie cristalline. Mais cette sonde, tombée en panne, fut récupérée par les Abissaux. Ils apprirent à en extraire des cristaux de power-node, qui leur permirent de bâtir leur technologie bio-organique primitive (capsules de survie en corail vivant, holographie sous-marine, champs de protection contre la pression). Après la chute de l’Empire Goa’uld, les Jaffas en exil repêchèrent quelques Aelyans (au début du 1er millénaire) pensant qu’il s’agissait de mutants Goa’uld. Mais ils constatèrent vite que ces êtres n’avaient aucun Goa’uld actif et décidèrent de les laisser en paix. Les Jaffas établirent des relations commerciales ils échangeaient des pièces détachées Goa’uld contre du corail énergétique. Toutefois, ces échanges restèrent marginaux (moins de 2 % du commerce galactique).


Politique :

Thalasséa est gouvernée par une monarchie tribale héréditaire, où le titre de Chef de Tribu (ou « Velocityan » dans la langue thalasséenne) revient à l’un des descendants directs des premiers survivants humains après le Grand Déluge. Ces familles fondatrices au nombre de six au total sont les seules autorisées à présenter un prétendant au trône. Lorsque le poste de Velocityan se libère (par décès ou abdication), chaque chef de famille désigne un héritier potentiel issu de sa lignée. L’ascension au pouvoir s’effectue en deux phases, d’abord, la désignation interne au sein de chaque dynastie, puis l’élection formelle par l’Assemblée des Ancêtres un conseil composé des membres les plus âgés de chacune des six familles fondatrices. Ces sages, reconnus pour leur mémoire historique et leur légitimité, se réunissent dans la Grande Caverne de Nahel’ra (un sanctuaire sacré situé dans l’une des plus profondes cités sous-marines). La majorité des votes de l’Assemblée suffit à confirmer le nouveau Velocityan. Malgré ce mode héréditaire, la philosophie politique thalasséenne reste profondément pacifiste la diplomatie et la négociation prévalent toujours. Les six familles veillent à maintenir l’équilibre entre clans, sans conflits ouverts ni rivalités féroces. Chaque Velocityan se doit donc de gouverner en concertation avec les anciens et de respecter les rites ancestraux (rituels de communion avec l’Âme des Marées, partage des ressources) pour conserver la confiance de l’ensemble du peuple. Aucune faction n’est en compétition violente ; les tensions internes sont quasi inexistantes, car l’héritage commun du Grand Déluge et la crainte de déséquilibrer l’harmonie écologique dissuadent toute velléité de pouvoir personnel.


Géographie :

Après le cataclysme, seuls les sommets des anciennes chaînes montagneuses percent encore la surface. Ces « Caps d’Écume » forment de petites îles abruptes et rocheuses, couvertes de lichens salins et de quelques résidus forestiers n’ayant jamais été entièrement submergés. On y trouve parfois des ruines en pierre noire vestiges des temples Goa’ulds désormais colonisées par des lichens bioluminescents. Ces Caps sont le domaine des sentinelles Aelyanes chargés de veiller sur les courants marins et d’accueillir les rares voyageurs aériens. Immédiatement sous la surface, sur les pentes immergées des anciens contreforts, se sont formés de petits villages en ruines terrestres recyclées des pilotis et des plateformes taillées dans la roche reconstituée, installés là où jadis s’étendaient des forêts ou des vallées. Les demeures sont bâties sur d’antiques socles de pierre, partiellement recouverts d’algues rouges et bleues. On y cultive des jardins hydroponiques suspendus, attachés aux vestiges d’arbres immergés, afin de créer des zones de pêche durables et d’absorber une partie des vagues de surface. Au-delà de la pente littorale (jusqu’à environ 1 500 m de profondeur), l’eau devient plus froide et la lumière tamisée dessine un monde crépusculaire. C’est ici que l’on trouve les premières Citadelles Coralliennes villes sous-marines construites majoritairement en corail synthétique issu de l’ancienne biomasse Goa’uld. Les habitations s’étagent en niveaux concentriques ; au centre se dresse souvent un temple dédié à Nahel’ra, dont la flèche de corail luminescent guide les navires à grande profondeur. Vers 2 000–3 000 m de profondeur, la pression atteint un seuil extrême seules quelques zones habitées subsistent, rassemblant la population la plus avancée technologiquement. On y trouve la Cité des Courants Profonds , cœur administratif et spirituel de Thalasséa, éclairée par des fermes bioluminescentes alimentées par l’énergie géothermique. Les bâtiments y sont profilés pour résister à la pression, et s’étendent en dômes multicouches ancrés dans la roche abyssal. Thalasséa est une planète à 98 % océanique ; la température de surface oscille entre 10 °C (dans les basses latitudes) et 4 °C (près des pôles, où des glaciers sous-marins subsistent). De puissants courants équatoriaux redistribuent la chaleur vers les zones tempérées, créant des cyclones marins occasionnels. Sous la surface, la température diminue de manière constante pour avoisiner les 2 °C aux environs de 2 000 m, avant d’augmenter légèrement près des sources hydrothermales profondes. Les caps émergés sont balayés par des vents salins violents, générant des embruns permanents et une couverture nuageuse dense. Ces conditions favorisent des tempêtes de surface modérées, mais le réseau de villages littoraux est conçu pour amortir l’énergie des vagues. En revanche, les profondeurs abritent un calme permanent, propice à l’exploration sous-marine et à l’implantation des grandes cités coralliennes.


Démographie :

La société thalassienne est globalement concentrée dans de vastes cités subaquatiques situées dans les anciennes fosses océaniques ou sur les plateaux abyssaux. Ces villes, souvent sculptées dans les coraux géants ou construites autour de ruines pré-catastrophe, sont lumineuses, technologiquement avancées et hautement organisées. Plus près de la surface, entre les ruines englouties des anciennes forêts et les sommets d’anciennes montagnes émergeant encore à peine des flots, on trouve des communautés plus rurales ou spirituelles, souvent tournées vers l’art, la méditation ou la préservation de la mémoire historique. Ces villages, moins nombreux, sont plus calmes et paisibles, souvent habités par des sages ou des familles cherchant une vie en harmonie avec la nature submergée. La population thalassienne compte environ 380 millions d’individus, dont 70 % vivent dans les grandes cités sous-marines, 25 % dans les communautés intermédiaires de moyenne profondeur, et 5 % seulement dans les rares zones émergées ou en surface semi-submergée.


Culture :

La culture thalassienne est profondément marquée par la mémoire du cataclysme, par l’adaptation à l’environnement aquatique, et par un respect sacré des anciens et de l’harmonie naturelle. Ayant émergé d’une longue période de souffrance, d'esclavage et de transformation, les Thalassiens ont construit une société pacifiste, introspective et résolument tournée vers la préservation de la paix et de la connaissance.

Héritage humain :
Les premières générations issues des esclaves terriens ont conservé quelques traces de leur culture originelle. Ces vestiges se retrouvent dans certains rites de passage, chants traditionnels et récits oraux évoquant la « surface perdue » ou le « temps d’avant les eaux ». Cependant, la plupart des anciennes cultures humaines ont été absorbées ou réinterprétées au fil des siècles sous une forme mythologique, parfois même mystique

Harmonie et spiritualité :
Les Thalassiens vénèrent l’eau comme source de vie, d’équilibre et de transformation. Leur spiritualité n’est pas centralisée autour des dieux, mais d’un principe vital qu’ils appellent « Ansha », une énergie présente dans toutes les formes de vie aquatiques. Des danses rituelles, des chants polyphoniques et des cérémonies de fusion mentale avec certaines créatures marines sacrées (comme les Oramé, espèces symbiotiques géantes) font partie intégrante de leurs pratiques culturelles.

Art et expression :
L’art thalassien se développe dans un univers fluide et en trois dimensions. La sculpture lumineuse, faite à base de bioluminescence, la musique à résonance aquatique et les fresques mouvantes sont au cœur de l’expression artistique. Le savoir se transmet également par des récits chantés dans la langue ancestrale, lors de grands rassemblements communautaires appelés les Écoutes.


Technologie :

Bien que d’apparence organique et intimement intégrée à l’environnement aquatique, la technologie thalassienne est hautement avancée. Développée de manière indépendante après le retrait brutal de leurs anciens maîtres extraterrestres, elle repose sur une philosophie de symbiose avec le vivant, bien différente de celle de la Terre ou des civilisations galactiques dominantes.

Principes technologiques fondamentaux :
Biotechnologie : Les Thalassiens ne fabriquent pas leurs outils ou leurs habitations au sens classique. Ils cultivent leur technologie à partir de coraux intelligents, de plantes luminescentes, de coquilles renforcées et de symbiotes marins. Leur architecture est organique, vivante et auto-régénérante.

Énergie bleue : Ils utilisent une forme d’énergie appelée Ansha-Tel, dérivée de flux bioélectriques marins, couplée à la bioluminescence de certaines espèces. Cette énergie est propre, renouvelable et en parfaite harmonie avec les écosystèmes marins.

Communication : La technologie de communication repose sur des ondes aqua-soniques, transmises par l’eau sur de très longues distances. Chaque cité est équipée de « Sphères d’Ansha », sortes de balises capables de transmettre des ondes sous marines

Médecine et génétique : La médecine thalassienne est avancée, notamment dans la régénération cellulaire et l'adaptation génétique. Leur longue adaptation à l’environnement marin leur a permis de maîtriser l’ingénierie du vivant, bien au-delà des capacités humaines actuelles.

Comparaison avec la Terre :
La technologie de Thalasséa n'est pas plus militarisée que celle de la Terre, mais elle est plus avancée dans les domaines de la durabilité, de la symbiose avec la nature et de la médecine. Elle dépasse les standards terriens en termes d’efficacité, mais refuse les logiques de domination ou d’exploitation technologique.

Moyens de transport :
Les Thalassiens utilisent des créatures marines apprivoisées ou bio-modifiées, ainsi que des courants artificiellement guidés pour se déplacer rapidement entre les zones profondes et les villages plus en surface. Ils ont également conçu des sphères de navigation organiques, capables de se déplacer en silence dans les profondeurs les plus sombres.

Relation à la technologie militaire :
Étant une civilisation profondément pacifiste, Thalasséa ne possède pas d’arsenal militaire traditionnel. Toutefois, en cas de menace extérieure, certaines créatures symbiotiques géantes, et des systèmes de défense peuvent être utilisé mais aucune armée est fait pour attaquer.


Religion :

Le peuple n'a pour seul culte et don religion celui de la nature et des océans. En effet n'ayant pas été soumis à d'autre religion ils sont dérivés les cultes humains pour en faire les cultes d'aujourd'hui .

Ligne géopolitique :

La planète étant rester à l'écart de l'échiquier géopolitique se veut de rester neutre et donc n'a pour l'instant aucun lien diplomatique avec d'autre planète.

Principaux personnages :

Chef de tribu: Kael’Thas Voryn
Chef des armées: Lira Marenas
Chef du développement de la planète: Vossar Kell
Chef de la sécurité de la planète: Elyra Soven
Chef des relation galactique: Silven Drakar

Re: Création Thalasséa (N°1)

Posté : jeu. juin 05, 2025 2:01 pm
par Administration
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